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Editos

L’Occident ingurgite du poison

Le Dialogue

Croyez-moi,  je n’exagère pas en disant  que l’Occident s’administre  un  poison. Il l’a effectivement fait et le fait toujours en  accueillant des immigrés qui  professent, par  le cœur et l’esprit,  une haine atroce contre la civilisation  occidentale.  Ils ont une mentalité  qui  ne diffère nullement de celle d’un  membre de Daesh et qui  rêve de détruire le système de valeurs des sociétés occidentales.

L’Occident l’avait fait par son  soutien suspect des Frères musulmans et même de leur accession au  pouvoir dans plusieurs pays  comme l’a bien  fait Barak Obama  en 2012 ;  telle fut également la position  de l’Union  européenne à la même époque.

Les positions  de la plupart des pays occidentaux vis à vis des organisations terroristes comme Hezbollah, Hamas et les Frères du gouvernement de l’entente en Libye,  de quelques personnalités fréristes comme Erdogan (en Turquie)  et Ghanoushi (Tunisie) sont un  amalgame de mauvais calculs, de l’ignorance de la vraie nature de ces personnes,  de la faiblesse et de la servilité.

De plus,  le comportement de l’Occident à l’égard d’Iran est catastrophique et aura des conséquences désastreuses à l’avenir.

Je ne doute pas le moins du  monde que ce phénomène catastrophique est le résultat normal   de la mentalité,  des politiques et influences de la gauche occidentale  soit les partis,  personnalités et tribunes gauchistes. 

Car la gauche qui n’a pas détruit  l’Occident  sur le plan économique  le fera sur le plan  politique, social  et culturel. 

La preuve que la gauche occidentale  est responsable de la création de cette  catastrophe se fait sentir dans l’action menée par Joe Biden  depuis son  arrivée à la Maison Blanche  en janvier 2021. Il  a marqué un  retour au mode  de manipulation  de la question  iranienne et de l’énergie nucléaire adopté par les partis occidentaux de gauche, à l’expiration  d’une période exceptionnelle de 2017à  2021.

Les exemples abondent. J’en  cite ici le dommage qu’a causé Merkel à  son pays l’Allemagne - et dont les conséquences néfastes se feront sentir ultérieurement- lorsqu’elle a accepté d’y accueillir des expatriés syriens  qui  ne peuvent pas s’adapter à la culture de la société  allemande et subir  une acculturation. Ils deviendront bientôt  des citoyens allemands  alors que leur idées,  culture  et  valeurs ne recoupent pas le moins du  monde ceux de la société allemande.

Les pays européens pourraient échapper à  l’avenir indéterminé  qui  les attend. Les rescapés  seront soit les Etats qui  faisaient partie du bloc de l’est  soit des Etats où les partis de droite  ont la main haute.

En contrepartie,  il  s’avère extrêmement difficile de prévoir un avenir  brillant pour un pays comme la France où le nombre d’immigrés non-assimilés à la culture de la société  française dépasse les dix  millions.