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Politique - Société

Les effets secondaires des vaccins anti-covid en question

PEDRO PARDO / AFP
PEDRO PARDO / AFP

Dans cet article, original et iconoclaste, le docteur Alain Bellaiche, propose une innovation dans la vaccination anti-covid qui a pour but de réduire les risques d’effets secondaires. Un sujet qui est d’autant plus d’actualité que le Covid19 refait surface en Chine, n’est pas encore vaincu en Europe et fait couler beaucoup d’encre à propos des effets secondaires encore mal connus, à long terme, des vaccins ARN. 

Tout d’abord, avant d’aller au cœur de notre propos, rappelons la problématique des vaccins à ARN messager mis à la disposition lors de la Pandémie du covid19. Commençons ainsi par les accidents : même s’ils sont officiellement minimisés ou carrément niés, il me paraît difficile de récuser la totalité des faits graves souvent concordants rapportés, et présentés comme possiblement en lien avec la « vaccination* » anticovid. Qu’il s’agisse de morts subites par allergie ou AVC (accidents vasculaires cérébraux,) de complications cardio-vasculaires, endocriniennes (souvent ovariennes), obstétricales**, mais aussi, aggravation d’une pathologie rhumatismale (où les conflits antigène/anticorps y sont souvent présents.) A noter aussi quelques cas de Creutzfeldt-Jakob (maladie de la vache folle)…D’autant plus difficiles à récuser hâtivement, qu’outre les nombreux témoignages de victimes ou de leurs proches, ces observations proviennent souvent aussi de professionnels dignes de foi. Force est de reconnaître aussi, que sur le plan de la pathogénie, des explications plausibles peuvent de défendre :

 

LA PARTICULARITES DE CE VACCIN A ARN MESSAGER.

Le sujet « vacciné »  par ARN messager, va fabriquer les 2 : et l’antigène (la fameuse protéine Spike***), et l’anticorps contre ce Spike (contrairement à ce qui se passe pour les vaccins traditionnels où le sujet ne fabrique que l’anticorps.) Ce point est capital, et modifie totalement l’approche du sujet. Ce spike est une proteine, c’est à dire, un assemblage d’acides aminés selon un certain ordre, dicté, « codé » par L’ARN messager. C’est le cas de toutes les protéines

… Dicté A qui ? Aux ribosomes : Usines à Protéines. Quasiment toutes nos cellules sont équipées de ribosomes. Ce sont eux (machines à fabriquer toutes nos protéines*) qui vont, selon le message délivré par l’ARN messager, se « débrouiller » pour récolter les divers acides aminés requis pour fabriquer cette protéine (ici, le spike.) 

 

LES EFFETS SYSTEMIQUES

En intramusculaire, cet ARN messager va potentiellement solliciter forcément les cellules de divers organes (C’est ce qu’on appelle « effet systémique,) qui vont fabriquer du spike. Il y a, selon moi, quelque chose de « dérangeant » en ce sens que les cellules de divers organes, sollicitées par cet ARN messager, et devenues émettrices de cette protéine immunogène (le spike) vont recevoir à leur tour l’attaque de ces anticorps produits. En quelque sorte, des anticorps contre « soi-même. » On peut ainsi se retrouver dans une situation semblable aux maladies auto-immunes. Or ces maladies auto-immunes peuvent être emboligènes (c’est à dire, génératrices de complications thrombo-emboliques), avec formation de de caillots, comme dans : certains AVC, infarctus, morts subites, morts fœtales par obstruction de la circulation placentaire. Mais aussi attaques de glandes endocrines, y compris sexuelles. Et bien entendu aussi, pathologies rhumatismales. Reconnaissons que cela ressemble en effet beaucoup aux effets secondaires parfois graves, rapportés par des praticiens dignes de foi.

MAIS ON NE POURRA PAS NIER, ET CELA S’INSCRIT AU « CREDIT » DU VACCIN, QUE L’ARN MESSAGER ADMINISTRE, EST EFFICACE POUR FABRIQUER LA PROTEINE SPIKE. Même si l’immunisation, donc la protection est de courte durée. NOTRE OBJET, ICI, NOTRE IDEE ORIGINALE, EST DE FAIRE FABRIQUER CETTE PROTEINE SPIKE sans risquer cet « effet systémique » qui va intéresser des organes parfois vitaux. J’ai donc imaginé une méthode de vaccination qui va éviter ces risques systémiques. Je l’ai décrite ci-dessous, il y a déjà une année. J’en revendique ici l’antériorité par copyright en la publiant dans ce journal. UN VACCIN A ARN MESSAGER AUSSI PROTECTEUR MINIMISANT LE RISQUE D’EFFETS SECONDAIRES SYSTEMIQUES GRAVES.

 

L’INJECTION DANS LE DELTOÏDE : UNE INTRAMUSCULAIRE QUI DIFFUSE, PAR DEFINITION, DANS TOUT L’ORGANISME

Personne, et notamment aucun médecin, ne pourra croire que l’injection intramusculaire des vaccins à ARN messager* limitera ses effets aux seules cellules du Deltoïde (le muscle concerné.) C’est pourtant ce qui a « traîné » dans certains articles scientifiques de journaux, en principe respectables. Il est évident que l’instruction génétique donnée aux cellules ne va pas se limiter à l’épaule, et que toutes les cellules de l’organisme peuvent être instruites par le message ARN. Et ce sont leurs ribosomes (usines à protéines de la cellule, contenus dans leur cytoplasme) qui vont chercher les divers acides aminés pour fabriquer la protéine Spike. La fameuse protéine immunogène qui va générer la fabrication d’anticorps anti-spike, chargés d ‘arrêter le Spike du virus qui est sa protéine d’accroche. Il est clair que si une injection intramusculaire, n’agissait que sur le muscle pénétré, les injections IM d’antibiotiques administrés pour une infection pulmonaire par exemple, dans la fesse, ne soignerait alors que …la fesse.

 

SECTORISER LA FABRICATION DU SPIKE. LES ANTICORPS SE FERONT QUAND MEME. 

Il serait plus rassurant en effet, de limiter « géographiquement » le message de cet ARN pour qu’il fabrique du Spike, mais, seulement dans un secteur limité. Sans coloniser des organes où elle pourrait avoir une action délétère (ovaires, myocarde, cellules nerveuses…) 

Par le spike lui-même (dont on ne peut contrôler la replication), et aussi par les anticorps produits qui pourraient attaquer ces organes émetteurs de cette protéine)

 

LA SOLUTION : VACCINER PAR SCARIFICATION (incision sur la peau à l’aide d’une petite plume)

La solution est simple : injection, non pas intramusculaire qui va diffuser partout, mais intradermique, voire par scarification, comme c’était le cas pour le vaccin antivariolique dont l’efficacité exemplaire a permis d’éradiquer cette maladie de la planète.

Je propose de donner cette instruction génétique, cet ARN messager, par scarification. On aura quand même fabrication de spike instruction génétique donnée aux cellules superficielle, comme pour la vaccination antivariolique, ou le BCG, par exemple, et les anticorps se formeront en réaction à cet antigène. Donc une protection par anticorps, sans prendre le risque de « chahuter » tout l’organisme. 

Cette proposition est originale, et émise par le docteur Alain Bellaiche qui en revendique le Copyright. C’est une suggestion de piste (la forme galénique est à étudier,) tant pour les vaccinations à ARN messager, qu’avec Adenovirus.

 *J’ai mis des guillemets à « vaccin » car le procédé qui consiste à faire fabriquer une protéine par les ribosomes, via un ARN messager, s’apparente davantage à la thérapie génique qu’à la vaccination.

**La Femme enceinte : Personnellement, je considère que la préconisation d’une vaccination massive des femmes enceintes par un produit « génique.» dont on n’a pas un recul suffisant s’apparente à une « roulette russe » dont l’enjeu est incommensurable. Il s’agit d’un avis personnel que je sais être non partagé par le Comité Scientifique :

-Soit qu'il pa‌sse la barrière placentaire (On prétend que non, mais là encore c'est théorique.) En pratique, il faudrait une à 2 générations pour s'en assurer. Quand on sait que le moindre verre de vin est contre-indiqué  seulement depuis à peine  20 ans...en raison du risque de perturbations de la maturation du système neuronal de l’enfant à naître.

-Soit qu'il ne passe pas la barrière placentaire. Et dans ce cas, Il pourrait s’arrêter au placenta, et perturber ainsi la nutrition du produit de conception.
Des études, notamment étrangères font en effet état de nombreuses fausses couches et morts in utero augmentées dans des proportions plus que significatives. A noter que certains pays « non hexagonaux,» interdisent maintenant la vaccination des femmes enceinte.

***Le « spike » est la protéine d’accroche du Coronavirus. Si pas de Spike, pas de virus.